
Au théâtre Essaïon, Jean-Baptiste Artigas joue et met en scène La Chute, adaptation du roman paru en 1956, un an avant que son auteur ne reçoive le prix Nobel de littérature.
Au théâtre Essaïon, Jean-Baptiste Artigas joue et met en scène La Chute, adaptation du roman paru en 1956, un an avant que son auteur ne reçoive le prix Nobel de littérature.
À Châlons-en-Champagne, sa ville natale, Cabu, maître du dessin satirique, fait l’objet d’une épatante exposition sur l’un de ses thèmes favoris.
Cinq ans après sa disparition, le musée Réattu présente une anthologie de ce cofondateur de l’agence Gamma et artisan majeur des Rencontres de la photographie d’Arles.
La comédienne Hélène Arié, à partir du chef-d’œuvre littéraire de James Joyce, fait la part belle à Molly, moderne Pénélope.
Athlète complet de la création, cet artiste issu du cirque ne cesse de réinterroger, en tous sens, les lois physiques qui régissent le monde.
Au musée de la Franc-maçonnerie, les œuvres de deux artistes iraniens en exil pourfendent, avec talent, le régime théocratique qui étouffe leur pays.
Alexandra Tobelaim met en scène la pièce de l’auteur sicilien Davide Enia qui évoque, en sourdine, la périlleuse traversée de la mer par des hommes et des femmes en quête d’une meilleure existence.
Neuf interprètes se relaient pour présenter chaque soir, en alternance, des farces et pièces brèves du grand auteur russe, mises en scène par Pierre Pradinas.
Une cinquantaine d’artistes, dont près de la moitié sont des femmes, naguère encore catalogués comme « naïfs », illustrent la vitalité d’un art populaire qui signifie avec force l’identité de leur pays.
Au Musée d’art et d’histoire du judaïsme (Mahj), l’auteur du Chat du rabbin, entre autres multiples réussites graphiques, est à l’honneur avec toutes ses bénéfiques obsessions.