Comme dans une (fausse) charade, trois premiers (et excellents) romans : le premier dans un fast-food,
le second dans une usine et un abattoir,
le dernier sur le rail
le tout pour évoquer le travail…
Comme dans une (fausse) charade, trois premiers (et excellents) romans : le premier dans un fast-food,
le second dans une usine et un abattoir,
le dernier sur le rail
le tout pour évoquer le travail…
La soprano allemande Katharina Ruckgaber embrasse, avec une espièglerie détonnante, des mélodies d’un registre plutôt sombre. Enthousiasmant.
Pas de chance, pour une question mal comprise, l’angevine Pascaline Lepeltier n’a pu accéder à la finale du concours du meilleur sommelier du monde. Elle termine à la 4e place, ce qui est déjà un exploit au regard de l’extrême difficulté de l’exercice, concernant non seulement la connaissance des vins mais aussi des alcools, des thés, des cafés, leur présentation et leur association avec les mets.
C’est la première rétrospective en France de cette artiste afro-américaine qui a entamé son œuvre dans les années 1960, au plus fort des luttes pour les droits civiques, et continue de nos jours, au sein du mouvement Black Lives Matter.
La championne ukrainienne Natalia Joukova n’a plus guère le temps de se concentrer sur l’échiquier. Depuis l’invasion de son pays, elle a mis ses compétences au service de la municipalité d’Odessa.
Autour de la grève des garçons de café parisiens, en 1907, l'artiste Mathieu Colloghan a bâti un récit graphique, riche en digressions sur la dignité et la solidarité ouvrière.
Pour interpréter Bach, Mario Brunello use à merveille de ce petit violoncelle, proche du violon alto, qui connut son heure de gloire dans la première moitié du XVIIIe siècle.
Au 100 bis, rue d’Assas à Paris, une exposition célèbre le 40e anniversaire de cette institution, dans les murs où l’artiste et son épouse, la peintre Valentine Prax, ont vécu et œuvré quarante ans durant.
Au Musée international des arts modestes, une exposition, qui réunit un fort contingent de praticiens des outils numériques, donne à voir une multiplicité de formes nées du digital et de la transformation du code en matière.
Romancier de la Guyane, Colin Niel érige le petit Darwyne, qui oscille entre le bidonville et la jungle, en révélateur de notre piètre humanité. Quant à Stephen King, toujours bon artisan, il nous régale en entrelaçant polar, roman de guerre et road trip.