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Clémentine Autain livre une fiction qu’on devine fortement inspirée par son observation des rapports hommes-femmes à l’Assemblée nationale, tandis qu’Aurélie Fillipetti frôle le récit autobiographique avec une impossible idylle entre deux militants de bords opposés.
Gallimard réédite la saga des Rangers du ciel, publiée au début des années 1930 par cet auteur longtemps sulfureux, qui mâtinait de critique politico-sociale les aventures de ses pilotes justiciers.
Des voyageurs allemands, français, italiens… réunis sur un paquebot en 1932. Pierre Assouline observe ce concentré d’humanité, et ce qu’il révèle d’une Europe au seuil de la catastrophe.
Fasciné par son personnage, Fabrice Chillet brosse le portrait de Pyrate qui, depuis l’adolescence, sillonne les mers depuis Brest jusqu’à l’océan Indien. Quant à Catherine Poulain, puisant dans son expérience propre, elle raconte la pêche à la morue en Alaska, sur un palangrier peuplé de marins et d’une seule femme.
« Si tu ne triches pas, c’est que tu n’essayes pas vraiment. » Proverbe d’un tricheur.
À l’origine, la dumka est une chanson populaire ukrainienne au caractère rêveur et méditatif.
Du 25 juin au 17 juillet, la patrie de Cézanne sera irriguée, jusque dans les moindres recoins, par toutes les formes possibles et imaginables de manifestations culturelles.
Le Musée d’art et d’histoire du judaïsme met en lumière l’œuvre de celui qui sut marier avec force, entre 1917 et 1921, sa tradition d’origine et la modernité.
Au musée de l’Orangerie, comme en prélude aux Nymphéas de Monet, on peut voir, de Cézanne, Manet, Pissarro et autres maîtres d’alors, de multiples exemples de tentatives d’intégrer le beau dans la vie quotidienne.
Art du mouvement, du contraste, de l’irréel et de la métamorphose, le baroque connaît à cette époque un nouvel élan sous l’impulsion des Italiens.