
Par Fabienne Tatot, secrétaire nationale de l’Ugict-Cgt Après 14 journées d’actions, de grèves et de mobilisations interprofessionnelles depuis le 19 janvier pour défendre une retraite juste et solidaire à 60 ans avec 75 % de son dernier salaire, faut-il voir dans le passage en force du gouvernement pour imposer sa réforme un échec du syndicalisme… ou plutôt les symptômes d’un système néolibéral en train de faire vaciller notre démocratie ?