Même bienvenu pour l’association en grande difficulté, le don de la famille Arnault divise : si beaucoup en font la critique, tant dans sa mise en scène que dans la dérive qu’il promeut, d’autres s’émeuvent d’«une détestation des riches ».
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C’est avec ambition que la Cgt aborde les négociations sur les retraites complémentaires, amorcées le 5 septembre. Elle ne se satisfera pas de la suppression du malus mis en place en 2019. Propositions.
Partant du constat d’une méconnaissance de la santé au travail des femmes, quatre sénatrices émettent vingt-trois recommandations destinées à tendre vers plus d'égalité.
Les dernières rencontres d’Options ont abordé la réduction du temps de travail.
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Travailler moins, vivre mieux : comment fait-on ? Les Rencontres d’Options ont débattu de la revendication des trente-deux heures, et leur traduction en semaine de jours. Avec, comme premier thème de de discussion, la recherche de l’équilibre entre vies professionnelle et personnelle. Une illusion ?
Une nouvelle étape de réduction du temps de travail doit prendre en compte l’utilisation du temps libéré, potentiellement générateur d’émissions de gaz à effet de serre. La solution passe par la définition d’un nouveau projet de société.
C’est un plébiscite : selon un sondage du cabinet Robert Walters, 88 % des cadres souhaiteraient passer à la semaine de quatre jours. Si ce vœu est exprimé par toutes les générations, il est encore plus marqué chez les jeunes, avec un taux atteignant 92 % pour les 30-39 ans, contre 79 % au-delà de 50 ans. Mais de quelle semaine de quatre jours parle-t-on ?
En conclusion des Rencontres d’Options, la secrétaire générale de la Cgt annonce une grande campagne pour les trente-deux heures et appelle à contrer la loi retraite dans les entreprises et les branches.
L’été arrive à point nommé pour de nombreux salariés au bord de l’épuisement. Entre ceux qui s’arrêtent à temps et ceux qui continuent de travailler au risque du burn-out, le gouvernement refuse de se confronter à la réalité. Et préfère désigner des coupables : non pas l’intensification du travail mais les médecins qui prescriraient trop d’arrêts maladie. Tollé.
À l’issue d’une lutte de plusieurs mois, les artistes ont obtenu une augmentation moyenne de 9 %, étalée sur trois ans. C’est un début, les revalorisations n’étant pas à la hauteur des attentes, en particulier pour le chœur.
Derrière leur revendication, les infirmières et infirmiers anesthésistes diplômés d’État (Iade) défendent le maintien d’une prise en charge hospitalière exigeante, par des professionnels suffisamment formés. À contre courant d’une politique de transfert des prérogatives médicales vers le paramédical.